• Hôtel Arc-en-Ciel

    Un message est arrivé dans la nuit : notre avion, qui devait partir à 12 h 25 est retardé à 17 h 15 ! Super nouvelle, qui nous permet de prolonger le séjour au paradis de l’hôtel Arc-en-Ciel, de faire de belles photos polaroïds des cuisinières, des serveurs, de Noelson et Laurent, de la réception. Arc en Ciel  Arc en Ciel

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    Pour la première fois nous voyons la mer haute au pied de l’hôtel.

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    Dernier carpaccio de poissons fumés, achards de légumes, THB, pendant que 3 bébés-chats jouent dans les rideaux.

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    A quoi sert le guide qui accompagne le chauffeur de taxi ?

    A l’aéroport de Fascène, le contrôle de police vire à l’inquisition. Mon petit sac à dos est fouillé, les souvenirs déballés : Tintin à Madagascar en marqueterie, baobabs en bois (heureusement car ceux qui sont en métal sont confisqués), savonnettes parfumées (ylang-ylang, mmm…..), poche avant refouillée. L’appareil polaroïd pose un problème ! Et la vazaha encore palpée vigoureusement, comme on bat un tapis. L’avion arrive bien tard et on part encore plus tard à cause de deux passagers italiens refoulés. Devinez pourquoi : ils n’avaient pas 2 pages libres dans leur passeport. Et vous, vous avez 2 pages libres ? Nous aimerions savoir d’où sort cette règlementation…

    Avec Air Austral, nous n’aurons pas eu un seul avion à l’heure !

    Après 1 h 30 de vol, transfert à St Denis de la Réunion sans même le temps de passer par la case Toilettes ! Refouille du polaroïd, du sac noir, des semelles de chaussures. Du liquide ? Du métal ? Ben oui, l’armature du soutien-gorge, que je propose d’enlever. L’avion décolle avec 1 h 30 de retard, dans une ambiance houleuse. Après une mauvaise nuit, 9663 km parcourus, 10h de vol, nous pourrions espérer en avoir fini.

    Car enfin, nous arrivons de la Réunion et nous allons encore avoir d’interminables contrôles de police : il paraît qu’il y a une file pour les passeports biométriques. Des gens tentent le coup ; des mineurs sont refoulés, des seniors aussi : le mot passeport doit être souligné. Passeport.

    Il nous reste l’épreuve du RER + métro : je dois cramponner ma valise que de braves gens veulent me porter, je me fais coincer dans les escaliers, j’affirme que je n’ai pas besoin d’aide, certains haussent le ton, un cauchemar. Mais aux portillons, on me passe devant. C’était ma rubrique RETOUR EN FRANCE.

    D’accord, les retours, c’est toujours moche, mais on ne va tout de même pas terminer comme ça ? Il faut qu’on y retourne, pour voir Diego Suarez, la montagne d’Ambre, les Tsingy rouges, l’allée des Baobabs… Et dire bonjour à tous les amis de là-bas !

    « Nosy BeVeloma »